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L'aventure commence!

Bonjour à vous, amis de Fuga,

Je suis Philippe Laperrière, le PDG et fondateur de Fuga. Avec tout ce qui se passe chez nous depuis quelques semaines, j’avais envie de m’adresser à vous directement pour vous faire partager mon enthousiasme et la manière dont j’ai vécu les émotions qui m’habitent depuis que nous avons finalement obtenu notre licence de production de Santé Canada.

Émotions fortes

Quand le message est arrivé, j’ai d’abord été incrédule : ça faisait tellement longtemps que j’attendais ce moment que ça m’a paru surréel. Puis, rapidement, j’ai été gagné par l’euphorie. Les yeux pleins d’eau, la gorge nouée. 

Je suis parti à la SAQ acheter du champagne. J’ai caché la bouteille dans une poubelle, puis j’ai convoqué l’équipe pour une réunion d’urgence. Je leur ai d’abord fait croire, pendant quelques secondes, qu’il m’arrivait quelque chose de grave… Mais je ne les ai pas fait souffrir longtemps et j’ai extirpé la bouteille de sa cachette, annoncé la bonne nouvelle et assisté à l’explosion de bonheur généralisée.

Il faut comprendre que, depuis le début de cette aventure, nous avons tous fait beaucoup de sacrifices. Et nos conjoint.e.s aussi. Pendant des mois, nous avons travaillé sans relâche pour construire et raffiner les installations, nous avons fait de la recherche sur nos terreaux, notre éclairage, notre système de contrôle de l’environnement… sans jamais savoir si nous obtiendrions la permission d’exploiter ce joyau que nous étions en train de tailler. 

Lors de l’annonce, on peut dire qu’il y avait un mélange de joie, d’excitation pour ce qui s’en vient et de soulagement.

Les médias curieux, ouverts

Le lundi matin, après une fin de semaine euphorique, je me suis lancé à corps perdu dans la tournée médiatique.

À travers tout ça, nous mettions déjà les activités en branle et j’étais fébrile de commencer la production le plus rapidement possible. 

Mais la réponse des médias à notre obtention de licence s’est avérée extrêmement positive et a accaparé pas mal de mon temps. J’étais enthousiaste, mais quand même un peu craintif. Deux ans après la légalisation du cannabis récréatif (et presque 20 ans après celle du cannabis médical), l’opinion publique est encore divisée. C’est normal. Mais je redoutais les blagues de «poteux» et ce genre de choses.

Or, ce n’est pas du tout ce qui s’est produit. Les médias ont fait preuve d’une grande ouverture d’esprit, d’une écoute incroyable. 

L’apport économique

Plusieurs médias (comme Le Journal de Québec, Le Soleil et Pierre Couture dans son balado) ont mis l’accent sur le volet économique de notre projet. C’est vrai qu’en ce moment, il y a un marché très volatil dans le milieu du cannabis, et tout ça est très intéressant à suivre. Nous, comme microproducteurs, on est à l’affût de tout ça, mais on est un peu en marge de ces fluctuations du milieu.

Nous, on propose autre chose. Un produit haut de gamme. Dans tous les domaines, que ce soit les alcools, l’alimentation et la consommation en général, il existe un public qui souhaite payer un peu plus pour avoir de la qualité. C’est ce qu’on offre. 

Un peu comme on s’intéresse aux microbrasseries et à ce que ce type d’économie alternative apporte de positif dans les régions où ces industries s’installent, les médias constatent que nous sommes un acteur économique important. Nous voulons conserver notre esprit de départ : faire du bien, cultiver avec soin, mais nous allons croître, grandir, c’est sûr. Et nous allons tirer les régions où nous nous installons vers le haut, avec nous.

Un vent de changement 

Ce dont je suis le plus heureux de cette première semaine dans les médias et des échos perçus, c’est un changement d’attitude. Tant chez Dominic Maurais, à CHOI, que chez Stephan Dupont, au FM93, j’ai senti la curiosité, l’intérêt. Parmi leur auditoire, il y a une clientèle qui consomme du cannabis récréatif ou médical et qui s’y intéresse. Je pense entre autres aux anciens combattants, qui sont d’importants utilisateurs de cannabis médical. 

J’ai senti que ces animateurs veulent contribuer à changer les perceptions. Ce n’est pas rien! Ils ont compris notre démarche, ils m’ont donné l’impression de vouloir faire de la vulgarisation, d’expliquer comment fonctionne le cannabis médical. Ça m’a vraiment réjoui. 

Par la suite, j’ai même reçu des appels de gens souffrant d’importants problèmes de santé, comme la sclérose en plaques ou le syndrome de stress post-traumatique, qui voulaient en savoir plus. C’est vraiment réjouissant de sentir que le message passe.

Le versant humain

Il y a aussi des animateurs et des journalistes qui ont aimé mon histoire. 

C’est le cas de Patrick Lagacé, à qui j’ai raconté comment j’en suis venu à découvrir moi-même les vertus du cannabis médical et comment cela m’a poussé à lancer ce projet. 

C’est une anecdote qui est à la fois le début et la finalité de ce que nous faisons : aider les gens qui cherchent des moyens pour retrouver leur bien-être. 

Puis il y a eu Pierre-Yves Lord qui est venu nous rendre visite et qui a fait le tour du proprio avec nous. Ça, c’était une expérience vraiment différente qui m’a permis de faire ressentir au public les sensations qu’on a quand on entre chez Fuga. L’humidité, la clarté de l’éclairage, la modernité du lieu et des installations, l’odeur tropicale. 

Je vis vraiment ma job de rêve, ici! C’est l’achèvement d’une idée, de mon anecdote, et tout le monde ici se l’est appropriée. Mon histoire d’un gars qui tombe sur la tête et qui réussit à vaincre les contrecoups de ce choc grâce au cannabis, ça ne m’appartient plus. C’est devenu l’histoire de Fuga. Notre histoire. 

Et là, c’est le vrai commencement. Comptez sur moi pour vous raconter la suite. Elle s’annonce vraiment radieuse.

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